J5...
Je ne sais plus quel jour nous sommes...
Je ne sais plus quel jour nous sommes...
Ah si ! Samedi !
JOIE !!! Pas de leçons
pour mes filles aujourd'hui ! (Il faut suivre le rythme scolaire à la lettre, qu'on nous a dit).
Du coup, la pression que je ressens depuis mardi retombe.
Cela dit, je réfléchis un peu... m'énerver sur la continuité pédagogique a du bon : pendant ce temps, je pense moins à la situation.
Cela dit, je réfléchis un peu... m'énerver sur la continuité pédagogique a du bon : pendant ce temps, je pense moins à la situation.
Parce que je fais des allergies au calcaire (oui je sais, aucun rapport, mais ça va venir) : quand je
prends ma douche, si je me passe le jet d'eau trop longtemps sur le visage,
j'ai les joues en feu ! Je le sais, j'ai l'habitude, mais là, allez comprendre, ça me met tous les sens en alerte et je me dis que peut-être, c'est de la fièvre.
Je me reprends : soyons raisonnable.
Oh la la, j'ai chaud, on pourrait faire cuire un oeuf sur mes joues.
Non mais c'est comme d'hab, quoi...
Mais c'est pas chaud comme les autres fois, on dirait !
Bref, je passe mon samedi à me toucher le front, les joues, le front, les joues...(après m'être récuré
les mains au Cif ammoniacal, évidemment).
Et puis, avec l'arrivée du printemps, c'est toujours pareil : un peu d'allergie et le nez qui coule...
Et puis, avec l'arrivée du printemps, c'est toujours pareil : un peu d'allergie et le nez qui coule...
Et si c'était pas l'allergie ?
Je me mouche avec énervement (et avec un mouchoir, aussi)(jetable, le mouchoir).
Du coup, ça me donne une suée de m'énerver comme ça.
Joues - Front - Joues - Front...
Je regarde avec une certaine animosité mes filles et mon mari vautrés devant la télé, indifférents au drame qui se joue à quelques mètres d'eux, alors que je cherche à leur sauver la vie en passant frénétiquement tout ce que j'ai pu toucher à l'alcool à 90° : boutons de porte, rampe d'escalier, poignées de fenêtres, interrupteurs, poils des chats...
Quand le soir arrive, éreintée (encore un signe ?), je m'écroule dans mon canapé.
Je regarde avec une certaine animosité mes filles et mon mari vautrés devant la télé, indifférents au drame qui se joue à quelques mètres d'eux, alors que je cherche à leur sauver la vie en passant frénétiquement tout ce que j'ai pu toucher à l'alcool à 90° : boutons de porte, rampe d'escalier, poignées de fenêtres, interrupteurs, poils des chats...
Quand le soir arrive, éreintée (encore un signe ?), je m'écroule dans mon canapé.
Tiens, il fait frais. Mon nez ne coule plus. Mes joues ont toute leur fraîcheur.
On dirait que l'épreuve est passée ! Et j'ai gagné haut la main (lavée) !
Vivement lundi, tiens ! ... Que je sois occupée avec la continuité pédagogique !
Vivement lundi, tiens ! ... Que je sois occupée avec la continuité pédagogique !